82. Exploitation : protocole analytique prévu
Nous nous engageons à répondre à toutes les questions sur ce dossier de carrière Vaujours-Guisy. Toutes vos contributions et nos réponses sont publiées sur la page Vos questions/nos réponses ou sur la page Cahiers d’acteurs.
Les garants de la concertation veilleront à ce que les réponses apportées soient complètes et publiées dans les meilleurs délais. Toutes les questions/réponses alimenteront le bilan de la concertation.
Les équipes Placoplatre se réservent le droit de supprimer tout propos injurieux ou diffamatoire, conformément à la charte de modération.
Exploitation : protocole analytique prévu
- AULAGNIER ALBAN A ENVOYÉ CE MESSAGE
Je pense en particuliers à la nappe des Calcaires de Brie profonde de 1m à 8m qui, selon le rapport d’ANTEA n° A82646/A en page 102, je site, « n’a pas fait l’objet d’investigation » ainsi que les couches au-delà de 4m qui n’ont pas du tout fait l’objet d’analyses. Ces terres vont tout de même être extraites à la peleuse sur plusieurs dizaines de mètres dans le cas d’un projet d’exploitation à ciel ouvert.
Si la réponse est « non » : comment pouvez-vous, scientifiquement, assurer l’absence de contamination de ces terres et assurer l’absence de risque sanitaire et environnemental sans en connaitre leur degré de pollution lors de leur mise à l’atmosphère de manière partiellement dispersive ?
Est-il envisagé d’effectuer des carottages pour analyses avant d’extraire les couches de terre qui n’ont pas fait l’objet d’investigations analytiques ?
PLACOPLATRE A RÉPONDU
Bonjour,
Le rapport Antéa de 2016 est un diagnostic de l’état de pollutions des sols : il est donc normal que l’analyse des eaux superficielles ne soient pas intégrées dans ce rapport, ces mêmes eaux faisant l’objet d’un suivi continu depuis 2015 avant le démarrage des travaux (cf. réponse à la question 75).
Le diagnostic Antéa fournit en revanche une bonne cartographie des terres de surfaces sur l’emprise du fort et en particulier des calcaires de Brie. Comme cela est précisé en réponse 76, les argiles vertes sous-jacentes constituent une barrière imperméable vers les niveaux plus profonds.
Cordialement,